Inspiré de l’épistémologie artistique développée dès 1976 en Touraine, l’Art comme processeur sanitaire est, ici, mis en « oeuvre ». La couleur n’a rien guéri ; elle a simplement donné l’envie de guérir. La « partie saine » du malade est opérante. L’originalité de l’ouvrage est d’élargir le champ de la chromothérapie. C’est un abord spécifique de l’Art dans le bien-être personnel. La couleur est exploitée comme modalité expressive du « Je » personnalisé. Il se cache « dans » la couleur, s’anime « avec », et s’affirme « par » la couleur. Les voix de la peinture sont les voix du silence nous rappelle Merleau-Ponty. Merci à Mireille Weinland de nous donner des moyens artistiques pour les entendre ».
Chapitre 1 : La perception visuelle de la couleur : son rôle en art-thérapie Chapitre 2 : Le noir/couleur laisse sa place aux couleurs du spectre Chapitre 3 : L’enseignement en art-thérapie Chapitre 4 : Ce que le « Je » ressent / Les états émotionnels Chapitre 5 : Ce que le « Je » ressent, se lie à ce que le « Je » perçoit Chapitre 6 : Le « Je » rencontre l’autre sans le support de la parole Chapitre 7 : Cycle « Couleurs et formes » Chapitre 8 : Culture et hôpital